Ma source à propos de plantes artificielles
Cultiver son jardin, faire une association des plantations, admirer les fleurs, récolter et déguster ses légumes… affolement du jardinier qui, pour la première fois, se lance dans cette belle expédition doit rester un peu canalisé. Les conseils de notre spécialiste afin d’éviter certaines erreurs récurrentes chez les « apprentis ». Les crudités de moyenne rusticité ( mimosa, camélia, agapanthe, anisodontea, azara… ) sont réservés aux jardins de bord de mer et du midi. Ailleurs, surtout en climat continental, n’adoptez que des plantes très rustiques ( lilas, iris des jardins, pivoine, glycine… ). Les températures sont souvent différentes, dans un même département, en fonction de les zones. Le long du littoral, il peut y avoir jusque entre 5 et 8° de différence, pendant l’hiver, entre une ville côtière et une ville à 50 km dans les terres. Le vent, l’humidité, les pluies plus ou moins fréquentes, tout influe sur les crudités. La haie, écrin du jardin, est la priorité ! Imaginez-la variée, attractive, voire gourmande, autant pour vous que pour les oiseaux et les papillons. Dans un premier temps, choisissez des crudités faciles à vivre ( hémérocalle, géranium vivace, chèvrefeuille, groseillier… ) : les petites raretés ( arisaema, cypripedium, bletilla… ), c’est pour après ! Si completement vous tenez à une plante trésor, cultivez-la en bocal.
Le jardinage est une activité doux qui permet de lutter contre les mauvaises habitudes alimentaires. A la suite de nombreuses études, les corps médicaux préconisent largement l’exercice du jardin pour rompre cette spirale de mauvaises routines ( celles-ci, notamment alimentaires concernent le grignotage, l’alimentation mal équilibrée et le temps passé en face de la tv : les adultes passant 40% de leur temps libre devant la télévision ). Le jardinage est semblable à la pratique d’un sport doux : trois heures et demie conviennent à une perte de 1000 Kcal, ce qui est équivalent à pratiquement deux heures de jogging. En fait, les médecins recommandent pour garder la forme une dépense de tous les jours de 156 Kcal ce qui se traduit par quarante cinq min de taille de rosiers ou 25 min de bêchage. Cette activité a aussi l’atout de solliciter tous les groupes musculaires de façon répétitive et sans à-coups… La répétition de mouvements très divers, se baisser, se pencher ou fléchir les genoux, perfectionne la souplesse. enfin, certaines opérations techniques telles que le bouturage et le greffage demandent une bonne talent. Le jardinage a aussi des effets bénéfiques sur l’ostéoporose par son action tonifiante. Les personnes âgées doivent être encouragées à jardiner pour lutter contre les problèmes liés à la dégradation de la mobilité. Plus fort, des analyse hollandaises et américaines ont montré le rôle préventif du jardinage sur le cancer.
Faire une activité en plein air offre de la détente et du confort, peu fréquents sont ceux qui n’aiment pas faire bronzette et se baigner à la mer ! Pratiquer le jardinage permet de prendre une dose journalière de vitamine D et de profiter du soleil. Bref, le jardinage c’est bien car on peut profiter de l’extérieur et ventiler l’air frais tout en pratiquant une activité physique. Cette activité botanique très prisée par les français, engendre une satisfaction personnelle. En effet, le jardinier en herbe ressent une satisfaction personnelle à faire pousser ses propres plantes, c’est une belle réussite. Voir les jeunes pousses partie de terre et les savourer quelques semaines après dans son assiette, ça c’est réussite accélérant la bonne humeur. Et et ensuite, plus l’on jardine, plus l’on a d’imagination et plus l’inventivité se développe. Eh oui, le jardinage peut aussi être une activité artistique. Pratiquer le jardinage, c’est aussi entretenir sa forme. Le jardinage, la tonte, la taille, l’arrosage, le potager sont autant de déplacements physiques, qui sollicitent le corps entier. En luttant contre le surpoids, les jardiniers entretiennent leur masse musculaire mais se renforcent à chaque fois les articulations et l’ossature. Selon des chercheurs britanniques, il suffirait de 30 minutes de façon hebdomadaire pour entretenir son corps.
Pour démarrer un potager on commence par déterminer sa position. La terre cultivée doit être fertile, non polluée et l’exposition au soleil favorable pour la croissance de vos légumes et autres plantes du potager ( aromatiques etc… ). Ce premier article vous apportera une première piste pour déterminer le bon emplacement ainsi que tous ce dont vous avez besoin de savoir pour préparer une parcelle de culture. Vous aurez aussi un premier exemple de petit potager. N’hésitez pas à voir en parallèle ce lexique qui dévoile les termes du jardinier. Le potager c’est aussi du désherbage, quoique nous évoquerons comment le réduire en cultivant des plantes que l’on nomme des engrais verts et en pratiquant le paillage ( ou mulching ). Dans le premier article plus bas je présente différents outils dont l’excellente ratissoire provençale. Dans le second je présente d’ailleurs après différentes méthodes de désherber mécaniquement, le paillage. C’est un point clé en jardinage , et pas seulement pour limiter le désherbage et aussi pour entretenir le sol de l’érosion, nourrir la faune etc…Semer ses semences est une étape indispensable lorsqu’on jardine. Aujourd’hui, il est très attirant d’acquérir des petits plants à repiquer directement en pots ou au potager. Mais c’est malheureusement se limiter à quelques variétés sélectionnées par les jardineries, pépiniéristes ou clients sur le marché. Le semis offre la possibilité d’accéder à un nombre très conséquent de variétés que vous ne aurez pas, ou peu, sur les étals du marché et encore moins en hypermarché. Il ne faut donc pas hésiter à semer, essayer, recommencer et découvrir notre belle biodiversité alimentaire ! C’est une chance que nous avons !
Nous savons tous que pour pousser, les plantes ont besoin de substances alimentaires directement assimilables. Elles les puisent le plus souvent en terre. Mais vous avez aussi la possibilité de le leur fournir. L’un des composants les plus importants à cet effet est le terreau. Pour éviter tout risque, il faut choisir le terreau qui correspond le mieux à l’espèce de la plante. Il doit être conforme au pot, au potager et à la terre utilisée pour recueillir la plante. Que vos plantes soient en pleine terre ou sur des étagères solidement fixées avec des tirefonds de bonne qualité, le terreau est un indispensable pour une bonne croissance. Le pire qui puisse arriver en jardinerie est de planter ses plantations trop tôt ou trop tard. Renseignez-vous donc sur les dernières dates de givre inscrites dans votre zone. C’est une précaution à prendre pour ne pas tuer involontairement vos plantes. Il est aussi important de savoir le délai de gel pour récolter les plantations dans le bon timing ou leur offrir une meilleure protection. Le but est d’éviter qu’à la fin de l’automne la basse température n’endommage les plantes. Un bon jardinier entretient souvent ses plantations. Elles sont comme des enfants qui doivent être chouchoutés. Votre mission est de les arroser comme il le faut, de les tailler au moment parvenu, et de les entretenir de la sécheresse. Car la lumière joue un rôle important dans le process de la photosynthèse, mais elle peut facilement mettre en péril la plante lorsqu’elle est trop exposée au soleil. il est important de aussi garder enlever la plante des mauvaises herbes et retirer les feuilles fanées.
découvrez à reconnaitre les espèces les plus habituelles, sera à terme un gain de temps. Si elles s’installent c’est parce que le sol est à bâtir. Celles à extraire sont notamment le chiendent, liseron, armoise, oxalis, sans oublier les échardes et chardons avec une bèche afin d’extraire leurs origines. Les annuelles s’arrachent facilement à la main ou avec un sarcloir et peuvent servir au compost, être enfouies dans le sol à condition qu’elles n’ont pas grenées où être brûlées. De nombreux remèdes d’origine naturelle existent pour en résulter à bout : la cendre de bois, purin d’orties ou d’Angélique, paillage, eau bouillante ou de cuisson des pommes de terre, huile importante de basilic, vinaigre blanc, sel iodé et bicarbonate. Mais toutes ne sont pas enlevées ! Certaines adventices préservent la biodiversité et sont vitales au sol ( rumex, trèfle ), aux animaux et pollinisateurs ( pâquerette, bardane, semences ). D’autres peuvent être utilisé pour des recettes pour la forme, telles que l’ortie, sauge, bouillon blanc et chélidoine. Produire son compost naturel est le meilleur moyen de recycler les déchets du jardin et de cuisine pour les transformer en engrais organique. Il sera votre meilleur allié pour la forme de vos plantes et de vos arbres ! Il perfectionne l’aération du sol et facilite la rétention de l’eau et des substances nutritives. Le compostage est un process lent qui demande de la patience mais la présence de vers de terre dans les déchets de terre accélère la décomposition et améliore la qualité du compost. Installez- le en situation abritée et ensoleillée, idéalement entre 20° C et 24° C. On peut y mettre le premier type de déchet végétal, sauf adventices vivaces, tiges ligneuses ( à part si broyées ) et du fumier animal sauf déjections canines ou félines. Les feuilles mortes peuvent être aussi recyclées pour faire du terreau ou du compost. En cuisine, on récupère les épluchures de fruits ( sauf les agrumes qui se décomposent qu’à partir de 60°C ), de légumes, marc de café, coquilles d’oeufs, papier absorbant, carton… Mais pas de pain dans le compost car il est trop pleine d’ levure, ni pâtisseries !
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